Burqa, le problème.

On a beaucoup parlé ces derniers temps de la burqa ou du niqab, peut importe le nom.
Je veux parler du besoin nevrotique qu'éprouvent des femmes de se promener déguisées.

Depuis que le président français l'a déclarée indésirable, un débat a eu cours en Grande-Bretagne pour savoir si l'on devait bannir cette horrible bâche ambulante.

Je dois reconnaitre que si notre société était plus sincère, et donc plus saine, on n'aurrait pas à bannir cet accoutrement ridicule car le ridicule l'aurait tué.

La plupart des musulmans savent parfaitement que la burqa n'a rien à voir avec la religion, rien dans le Coran n'oblige les femmes à s'habiller comme Dark Vador. C'est la manifestation d'une culture et d'une mentalité primitive qui appellent autant le respect et la considération que les croyances des chasseurs de têtes.

Quand à la pudeur, quelle plaisanterie ! Les gens pudiques n'attirent pas l'attention en s'habillant en tente ambulante pour provoquer une culture qu'ils méprisent, mais dans laquelle ils veulent tant vivre. La burqa ne sera jamais la bienvenue en Europe ou en Occident de façon générale.
Elle sera toujours source de problèmes, et c'est à mon avis bien pourquoi elle est portée. Il y'a pleins de raisons pour interdire cette horreur, la meilleur étant que cela offenserait les islamistes, ce qui est toujours une bonne idée. Lorsqu'un une bande de fanatiques barbus hystériques crient à l'islamophobie, c'est signe que quelqu'un fait quelque chose de bien.

Pour ma part, je la bannirais dans les transports et les établissements publics ainsi que dans tout les endroits où vous êtes naturellement censés montrer votre visage. Pour moi, magasins et banques devraient également pouvoir refuser toute personne déguisée.
Et je crois que toutes celles qui trouvent bien de se promener affublées de cet accoutrement ridicule devraient consulter un médecin, pas seulement pour elles-mêmes, mais aussi pour leurs bébés dont certains naissent rachitiques car leurs mères souffrent d'une carence chronique en vitamine D, faute d'exposition au soleil.

On a longtemps critiquer les détracteurs de ce lincueul déshumanisant, cette cape mortuaire, ce manteau de souffrance. On a dit : " Vous dites que les femmes devraient s'habiller et vivre comme elles le veulent, et pourtant vous tournez en dérision toutes celles qui font le choix volontaire de masquer leur visage. Et voilà pourquoi vous êtes des hypocrites, des racistes, des islamophobes, des Juifs, des homosexuels et des sales mécréants qui brûleront en enfer, inch'allah !" et d'autres propos du même genre.

N'abordons pas l'évident problème de sécurité posé par la burqa, nous évitons d'en parler par respect pour leur religion même si c'est elle qui constitue la plus grosse menace à notre sécurité.
Désolés à vous, musulmans pacifiques, mais nous savons tous que c'est malheureusement la vérité actuelle.

Ceci mis à part, donc, la burqa est plus qu'un simple vétement, non ? C'est une déclaration politique manifeste de séparatisme - au temps pour la cohésion sociale - et c'est aussi un symbole fort de la condition féminine dans le monde musulman. Certaines, même-ici, ne décident aucunement d'être emballées dans cette prison vestimentaire.

C'est pourquoi je crois que les femmes qui essayent délibérément de justifier ce sinistre accoutrement dans le monde libre pour dire les choses de façon tordue, je crois que ces femmes justifient et encouragent activement l'oppression d'autres femmes sur cette Terre, et elles devraient en avoir profondément honte. Ce qu'elles font est pour moi profondément immoral, elle trahissent leur sexe.
Tant qu'à afficher leur identité culturelle ou religieuse, pourquoi ne pas porter une étoile jaune ?
Je trouve également déconcertant le silence des féministes occidentales d'ordinaire si revendicatrices et sûrent d'elles-mêmes, lorsqu'il est question des femmes dans l'Islam. Ca n'aurait rien à voir avec le charme ethnique qu'exerce le relativisme culturel auprès de celles qui en sont préservées, hein les filles ?
A moins que cette cause n'en vaille après tout pas la peine. Je ne sais pas, et vous ?
J'aimerais bien vous entendre, parce que jusqu'ici, le silence des féministes est assourdissant et honteux.

Tout le monde le pense.
Tout le monde se demande ce que fichent les féministes.
On écrit même pour se demander : " Où sont les féministes ?"
Comme si j'étais censé le savoir ... je suis aussi perplexe que tout le monde, mais je sais que ces féministes timides pourraient et devraient dire si jamais on les trouvent, c'est que toute femme occidentale qui, dans sa vie, prend en considération ou satisfait la mysoginie de l'islam joue contre-elle même , et trahissent ses enfants de sexe féminin qui devront en assumer les conséquences dans une société où elles seront moins considérées, moins en sécurité, et auront moins de droits qu'aujourd'hui.
Pour ma part, je ne veux pas m'en faire le complice. C'est pourquoi la question des droits de la femme devrait être une ligne blanche que l'Islam ne devrait pas être autorisé à franchir.

L'émansipation de la femme dans l'Islam est l'une des questions politiques les plus importantes qui soient, car c'est le seul moyen susceptible de civiliser cette délirante religion de paix. Et les gouvernements occidentaux qui prétendent représenter la liberté et la justice devraient s'y atteler avec vigueur, sans compromis, et sans égards pour les sensibilités culturelles de quiconque et ce, plus encore, sur leurs propres territoires, et cela signifie : Ni charia, Ni burqa.

Mais ne soyons pas trop intolérants, car c'est la pire des tares pour un Européen moderne, et je suis un Européen moderne.

Aussi, je ne demande pas l'interdiction de la burqa pour tout le monde, non.
En faite, je la veux obligatoire pour tout les islamistes masculins, surtout en période de canicule, ce qui permetterait peut-être de voir si cette burqa a vraiment la cote.

Peace, surtout à toutes ces féministes silencieuses,
Vous vous reconnaitrez, à défaut de vous faire conaître.

p.s : Je voudrais dédicacer cet articles aux noms de touts les musulmans pacifistes et également à ma mère, et à également toutes les personnes, qui ont fait de moi une personne qui sait les respecter.

Victor